Fin de voyage ...

Le bateau grince ... Tangue ... Menace de se briser ... Sur le pont, les hommes s'affolent ... Crient, hurlent qu'il faut mettre les canaux de sauvetage à l'eau ... Un bruit facassant traverse la viele carlingue du bateau. Appeuré, un cheval crasseux, fatigué, hénnis de peur. Que va - t' - il lui arriver ? Il n'entend plus rien au dehord que le souffle du vent dans les portes des cabines restées ouvertes ... BAM ! Un grand choc se fit ressentir dans tout le bateau à moitié pourri par le sel de mer, rongé par les mites ... Un grand trou se forma face au cheval, qui en profita pour sortir ... Sous la crasse accumulée par des jours et des jours de voyages, on peut y voir une robe marron - grise ... L'encolure relevée, les naseaux grand ouvers, le cheval nage vers la plage toute près ... Les hommes, eux, ont disparus du champ de vision de l'île depuis longtemp ... En oubliant le cheval ... Ce dernier vien d'arriver sur la plage, totalement lavé de touts les restes de crottins où il s'était roulé pendant un mois. Craintif, curieux, il découvre cet endroit, ne sachant où aller ... À droite, il y a une grande forêt ... À gauche, une plage, que l'on pourrait dire infinie ... Devant lui, des rocher ... Où aller ? Au trot, le beau gris trace a sa gauche, pas très sûr ... Mais ce qu'il sait, c'est que devant lui, se trace une nouvelle vie, avec de nouveaux compagnons ... Mais là, il stoppe net ... Que faire maintenant ? Continuer ? Oui ... Avec un hénnissement de joie, l'étalon se met au galop, le vent en poupe, sans plus pouvoir s'arrêter ... Libre, il est de nouveau libre ...

Ca fait maintenant, 2 jours qu'il est arrivait et déjà il revient à l'endroit de son arrivé, il faut être fou pour revenir là où on a faillit mourir, là où le bateau c'est briser. Mais un seul étalon était capable de revenir sur les premières terres qu'il avait foulées, ses terres remplient de sable doux, un sable chaud, un réconfort après le malheur du voyage. L'étalon avait une robe baie, elle brillait au soleil, pendant le voyage, elle était passer du marron terne, au gris poussière mais maintenant en signe de son bonheur, elle était luisante et propre. Notre cher stallion regarda lacement le nouveau venu, un grand étalon gris, tournant à gauche, puis s'arrêtant comme si il ne savait pas si il devait entrer sur les Terres d'Islas Castaways ou pas. L'étalon bai s'appelait Sowing Harvest, il en avait connu des chevaux avant d'arriver ici, mais il avait fallut que les CowBoys le capturent et l'enferme dans un corail ou il y passa 2 semaine. Puis après vint la vente au enchères, deux vieux loups de mers l'achetèrent et l'emmenèrent sur leur bateau branlant. Déjà pour la montée dans ce vieux machin truc chose flottant, l'étalon bai se rebella, il savait que ce machin ne tiendrait pas longtemps avec lui abord, mais bon, un sacré coup de fouet sur sa croupe luisante, le fit monter à bord. Il y eu une grosse tempête, le bateau craque, l'étalon bai s'énerve, le vent se calme, le bateau repart vers I.C. et finalement fait naufrage, l'étalon bai sort en cassant la coque et nage jusqu'à la côte, tombe de fatigue et se réveille le lendemain. Maintenant, il est là et compte bien y rester ...

Tient, une odeur de cheval ... Donc, il n'est pas seul ici ... Stoppant net, il regarda derrière lui, où se trouve un étalon, bai. De tout apparance, on pourrait dire qu'il est ici de puis un petit moment : sa robe est luisante. Tournant sur ses posterieurs à l'arrêt, le grand gris pointe ses fines oreilles, avant de hénnir, comme pour appeller le nouveau venu ... Peut être lui donnera - t' - il un chemin où aller ? Secouant sa grande tête, il avança au pas vers l'inconnu, tournant le dos au passage vers cette île, Namib Island, dont il ne connait encore rien, même pas son nom ... Arrivé à 500 mètres de l'autre étalon, notre entier à la robe grse s'arrêta, regardant l'autre cheval ... D'où venait - il ? Et pourquoi était - il ici ? Comment était - il arrivé ici, sans les hommes ? S'ébrouant, Dragonfly attendis une réction du bai, mais sans grande conviction ...